La FSU du Jura se félicite de la réussite de la journée de mobilisation du 22 mars.
Dans tous les domaines, les « réformes » gouvernementales sont violentes et confirment l’orientation libérale : après le droit du travail, la justice de proximité, la formation professionnelle, l’assurance chômage, le pouvoir d’achat des retraité-es, le droit et l’accueil des étrangers, les libertés publiques sont attaqué.es… La liste n’est pas exhaustive, et d’autres sujets suivront : les retraites, la sécurité sociale…
Le début d’année voit les luttes se succéder : les personnel-les pénitentiaires, celles et ceux des EHPAD, du travail social, les salarié-es de Carrefour, de Ford, de Coca-cola, de Haribo, les magistrat-es dans la justice ; les retraité-es, uni-es dont la mobilisation massive du 15 mars démontre la volonté inébranlable de défendre leur pouvoir d’achat et un système de retraite équitable ; les enseignant-es début février ; la jeunesse, contre la loi ORE. Les manifestations du 8 mars, pour les droits des femmes, et le 22 mars les cheminots, les agents de la fonction publics.
Pas de résignation mais un profond rejet des politiques menées.
Ces politiques menées depuis le milieu des années 80 ont produit le chômage de masse, le développement de l’extrême pauvreté. Elles ont aussi conduit à des concentrations de richesses incommensurables dans les mains d’une ultra-minorité.
Il convient aujourd’hui de transformer le rejet en un large mouvement social, pour en finir avec les mesures qui divisent, opposent, dégradent au quotidien les conditions de subsistances et de travail de tous.
Quelqu’un a dit « ensemble tout devient possible ! »
Chiche ?