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Le contexte économique et social est difficile pour les salarié-es et la résignation semble s’installer. Le syndicalisme doit être porteur d’espoir, et plus encore en période de crise. La FSU s’est donné comme objectif principal : améliorer les services publics, et notamment le service public laïque d’éducation, les conditions de travail des personnels.

Un syndicalisme de métiers

L’État doit s’appuyer sur celles et ceux qui travaillent et connaissent les métiers et non sur des pseudo experts très éloignés du terrain, qui ont pour objectif d’adapter les postes de travail pour aboutir à une rentabilité financière à court terme.

Contre le new management public

A cause de cette politique, le travail perd de son sens : de plus en plus, les ordres prescrits par la hiérarchie sont en décalage avec le métier, des injonctions incohérentes sont imposées. Le stress et la fatigue augmentent. La cause principale de la souffrance au travail c’est le mépris des personnels. Cela est insupportable !

La FSU intervient dans ce domaine par l’intermédiaire de ses militantes et militants dans les différentes instances (CHSCT, CT, CAP…).

Pour la revalorisation salariale

Améliorer les conditions de travail c’est aussi se battre pour les salaires. Le gel du point d’indice est une décision injuste et inefficace. La FSU mettra tout son poids pour que saute ce verrou.

Un syndicalisme de transformation sociale

La FSU défend un projet de société basé avant tout sur l’égalité et la solidarité, ainsi qu’un projet éducatif pour la réussite de tous les élèves de l’école publique.

Du 27 novembre au 4 décembre

Votez, faites voter, pour les listes de la FSU et de ses syndicats,

une nécessité pour défendre l’École et ses personnels !